Orateur : M. Martin Koulaba
Tout chrétien, ayant pris la décision de s’attacher à Dieu en abandonnant la vie passée, se demande, tout comme les apôtres, le sort qui lui est réservé. (Luc 18.29-30)
Or Dieu, à qui nous venons, est le tout-puissant, détenteur de toute chose. Et Il n’est pas contre la réussite matérielle, ni la bénédiction de ses enfants.
Isaac, fils d’Abraham a possédé le pays des Philistins. Il y sema et recueillit cette année le centuple ; car l’Éternel le bénit. (Genèse 26.12)
Isaac ne s’est pas contenté des richesses de son père. Il a travaillé sachant que la promesse de Dieu à son père, est valable pour lui aussi.
UNE NOUVELLE IDENTITÉ, UNE NOUVELLE VIE
Le chrétien doit donc se mettre au travail car Dieu ne bénit pas les paresseux.
Nous devons aussi braver les querelles tout comme Isaac. Malgré que les Philistins cherchaient plusieurs moyens pour s’approprier et détruire les puits creusés par les bergers d’Isaac, il a persévéré et Dieu l’a mis au large. (Genèse 26.15-22)
La bénédiction de Dieu n’a pas de limite. Elle attire et ramène vers nous même nos ennemis (Genèse 26.28). L’exemple de Joseph en est une réalité. Ses propres frères ont médité le mal contre lui à cause de la bénédiction de Dieu dans sa vie, mais au final, ce fut les même qui vinrent et cherchèrent même à l’adorer. (Genèse 50.18-20)
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